Depuis mon arrivée, je me demande dans quel Vietnam nous vivons. Sans doute s’agit-il de l’altérité la plus troublante : différents Vietnam se superposent. Invisibles sur Google Map, ils sont là, nombreux.
C’est parce que l’étrangeté se dissout trop rapidement que j’ai décidé d’écrire. Une résistance à la banalisation, j’imagine.